Payer moins cher les transports en commun en cas de pics de pollution ?

Où la tarification incitative des transports en commun en cas de pics de pollution est-elle mise en place en région ARA ? Comment cela fonctionne-t-il ? Quels en sont les retours d’expérience ? Quels impacts sur la qualité de l’air et le report modal cette mesure peut-elle avoir ? Éléments de réponse avec une comparaison régionale et un guide d’aide à la décision à destination des Autorités organisatrices des mobilités.

40% de la population de la région peut bénéficier d’une mesure de tarification incitative des transports en commun lors d’épisodes de pollution, avec 9 Autorités organisatrices des mobilités (AOM) qui l’ont adopté. Cependant, les modalités de mise en œuvre sont diverses et les évaluations d’impact sont difficiles car en fait cette mesure s’inscrit souvent dans un package d’actions pour réduire les émissions polluantes en cas d’épisode de pollution. Les épisodes de pollution peuvent tout de même être vus comme une opportunité d’insuffler de nouveaux comportements de mobilité.



Le rapport de benchmark réalisé par la DREAL accompagnée du bureau d’études Algoe permet d’y voir plus clair dans la réalité régionale de l’application de cette mesure.

Messages clés du rapport



La DREAL met aussi à disposition un guide d’aide à la décision sur la tarification incitative des transports en commun en cas de pic de pollution.
Objectif : accompagner les AOM à s’interroger sur le contexte, les prérequis et les modalités de mise en œuvre d’une tarification incitative des transports en commun.

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